abercrombie soldes LOLP, victime de la guerre de G

LA "D?-PALESTINISATION" DE LA CAUSE
M. Abbas a pris le risque de tout sur la négociation. L'année 2008 qui vit à la fois s' une discussion [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] avec Isra?l, étayée par le soutien financier sans précédent apporté aux territoires palestiniens, a montré l'échec de cette stratégie. Parvenu au terme de son mandat de président, "Abou Mazen" ne peut en effet se prévaloir de la moindre avancée sur le chemin d'un éventuel Etat palestinien. Il se voit réduit au r?le d'"idiot utile", emprisonné dans un dialogue inégal avec Isra?l, et dont le seul intérêt est d' l'illusion d'un processus de paix sans prise sur la réalité.
Du fait de son message à la fois nationaliste et religieux, le Hamas peut difficilement se en ce "mouvement attrape-tout" qu'a été jusqu'à présent le Fatah, même si sa doctrine - création d'un Etat palestinien indépendant dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale et le droit de retour pour les réfugiés - est [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] aujourd'hui assez proche, s'agissant de la Palestine, [url=http://www.anln.net/home.php?mod=space&uid=125055][/url] des positions exprimées par le chef du bureau politique, Khaled Mechaal.
La question palestinienne est [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] redevenue, comme avant la déroute arabe de 1967 qui avait paradoxalement libéré l'OLP, un instrument de mesure des conflits interarabes et [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] de l'influence des principaux acteurs régionaux. Les sommets successifs de Doha et de Kowe?t, les 17 et 19 janvier, ont rappelé le poids désormais écrasant des "parrains", saoudien, jordanien et égyptien d'un c?té, syrien, qatari de l'autre, suspectés de les chevaux de Troie au profit de l'. S'y ajoute la tutelle occidentale, européenne et américaine, voire israélienne, sur l'Autorité palestinienne qui a réduit son envergure politique. Elle a fait à M. Abbas le risque [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] d'appara?tre comme le supplétif, sinon le collaborateur d'un projet politique qui néglige l'enjeu de la Palestine pour se sur l'endiguement du régime de Téhéran.
Depuis plus de dix [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] ans, le mouvement national palestinien se bat en reculant. Face à cette érosion, Isra?l n'a jamais su se départir de la tentation de ses interlocuteurs, dans l'espoir que ces derniers se montrent moins exigeants. Ses expérimentations ( émerger une alternative à l'OLP "de l'intérieur", qu'il s'agisse de notables cooptés ou d'islamistes dans les années 1970) se sont pourtant invariablement transformées en fiasco. Faut-il désormais en terre palestinienne une évolution comparable à celle en oeuvre dans les camps de réfugiés du , où la détente du ressort national, usé à force d' trop servi, laisse le champ libre à tout autre chose que la quête d'un Etat ?
Ossifié par le long règne de Arafat, jusqu'à sa mort en 2004, le Fatah ne semble pas capable de se réinventer. Ses [url=http://fy.xinyuan.gov.cn/dy_GuestBook.asp]moncler Mo[/url] instances n'ont pas été renouvelées depuis 1989 et seule la mort de leurs membres modifie désormais la composition de son comité exécutif comme celle de son conseil révolutionnaire. Le Hamas, de son c?té, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] est encore loin de représenter une alternative, même si son émergence constitue plus un retour aux sources qu'une rupture dans l'histoire du mouvement national palestinien. La matrice idéologique des Frères musulmans, à la fois islamiste, nationaliste et anticoloniale, avait en effet expliqué leur engagement dans la guerre de 1948 et 1949, à par de nombreux futurs cadres du Fatah, avant la création de ce dernier.
Compte tenu par ailleurs de la disparition du courant post-marxiste [url=http://zhaotan.cw105.bizcn.com/E_GuestBook.asp]woolrich o[/url] de l'OLP - les Fronts patriotique et démocratique de libération de la Palestine - et de la faiblesse congénitale des indépendants palestiniens (quatre élus lors de la dernière élection), cette double incapacité du Fatah et du Hamas à le mouvement national palestinien explique le phénomène de "dé-palestinisation" de cette aspiration, très vite identifié par le chercheur Jean-Fran?ois Legrain et [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] qui n'a fait que se depuis la mort de Arafat.
Ses succès électoraux obtenus à la régulière - non seulement aux législatives de janvier 2006 mais lors des qui avaient précédé - étaient plus le résultat d'une posture "tribunitienne". Cette posture a été renforcée plus par la détestation suscitée par un Fatah, recru de divisions et critiqué pour son inefficacité comme pour sa corruption, que le produit d'un programme attractif ou novateur.
Treize ans plus tard, avec l'éclatement de la deuxième révolte palestinienne, Arafat, devenu entre-temps chef de l'Autorité palestinienne installée dans les territoires occupés après les accords d'Oslo, avait tenté de "chevaucher le tigre", [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] laissant une partie du Fatah s' dans l'action , y compris le terrorisme, pour avec le Hamas. C'était l'époque où l'expression de tanzim ("organisation" en arabe, terme désignant ordinairement le Fatah) faisait [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] florès dans la presse israélienne pour b?tir le mythe d'une quasi-armée secrète, preuve de la nécessaire duplicité arabe.
Avec l'arrivée au de Mahmoud Abbas et la renonciation sans équivoque à la lutte armée, puis la reconstruction des de sécurité palestiniens sous l'égide des donateurs internationaux, le Fatah a abandonné ce terrain au Hamas et aux autres milices de Gaza, réduisant son r?le, après son éviction par la force de Gaza, à la répression des islamistes de Cisjordanie ainsi qu'à la mise au pas des gangs qu'il avait laissé prospérer dans ses [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] rangs, à Jénine, à Naplouse ou à Hébron.
en 1959, le Fatah, colonne vertébrale de l'Organisation de libération de la (OLP), a été absent d'un affrontement é avec Isra?l lors de l'opération [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] "plomb durci", qui a débuté en décembre 2008 à Gaza. Lors de la première Intifada, dépassés par un soulèvement qu'ils n'avaient pas initié, les dirigeants de l'OLP s'étaient efforcés a posteriori d'appara?tre comme ses organisateurs. avait participé à cette mystification en assassinant à Tunis, où le Fatah s'était replié après son éviction de Beyrouth, Khalil Al-Wazir, "Abou Jihad", le numéro deux de l'OLP, pensant à tort le soulèvement de la Cis[url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url]ie et de Gaza.

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