nike air jordan pas cher Les révoltes arabes sont

UN FACTEUR PARMI D'AUTRES
Le blogueur tweete que "la révolution 2.0, la révolution Facebook, la révolution sont des expressions dénuées de sens". De son c?té, le journal Al-Ahram révèle qu'un certain Jamal Ibrahim, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de la région d'Ibrahimya, cherchant à hommage aux révolutionnaires, a baptisé sa fille née cette semaine "Facebook".
UN OUTIL DE MOBILISATION
La communauté [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] des militants numériques d', qui se comptent dorénavant par centaines ou par milliers, tant l'intelligence politique d'un Wael Ghonim ou la force du témoignage d'une Gigi Ibrahim ont séduit leurs compatriotes, est déterminée à le pays vers la démocratie. "On ignore si Wael Ghonim, par exemple, a envie de de la politique. Les leaders de la révolution sur Facebook ne seront pas forcément les leaders de l'Egypte de demain, pense Issandr El-Amrani. Mais ils auront un r?le important à dans la mobilisation de la jeunesse en vue des élections."
La coupure d'Internet et des téléphones mobiles durant quelques [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] jours n'a donc pas eu l'effet escompté par le , la mobilisation étant déjà forte. "Une fois que les Egyptiens avaient décidé de dans la rue, c'était bon, témoigne le [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]moncler pas cher Lenlisement[/url] blogueur Wael Abbas. En revanche, Internet nous a permis de les dans la rue, de des informations politiques et des détails logistiques. Je crois qu'aucun d'entre nous, militants, ne s'attendait à autant de gens rassemblés." Les initiateurs des appels à la révolution ont été dépassés par la puissance de leurs outils, avant d'être surpris par la détermination et le courage des Egyptiens.
Le journaliste , qui tient le blog "The Arabist", revient sur la genèse de la révolte. "Les Egyptiens étaient désabusés, par les richesses non partagées, par la corruption, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] par les tortures, par les scandales électoraux. La page "We are all " a joué un r?le important, ainsi que d'autres militants sur Facebook et , mais il y a eu aussi la force de la révolution en , la tuerie des coptes, la première manifestation le 25 janvier, la répression sanglante [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] le 28janvier. C'est là, pour toutes ces raisons, que le mouvement est devenu si fort. Et il y [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] a eu l'intelligence des [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] leaders du mouvement, qui ont fait un message clair et net, [url=http://en.lanesync.com/forum.php?mod=viewthread&tid=4098351]lancel pas cher Le mal syrien[/url] et il y a eu le soutien des [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]lancel pas cher Contre la déc[/url] ." Tous ces ingrédients ont abouti, selon M.El-Amrani, à une rare combinaison de facteurs différents entra?nant un résultat inattendu.
Agé de 30 ans, chef du marketing de pour le Moyen-Orient, vivant à Duba? avec sa femme américaine [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] et leurs deux enfants, il a reconnu, après être venu au Caire pour à la manifestation du 25 janvier et été détenu douze jours par les forces de sécurité, être le créateur de la page Facebook "We are all Khaled Said". [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] Baptisée du nom d'un jeune homme torturé et battu à mort par des policiers à Alexandrie le 6 juin 2010, la page a été au c?ur de la prise de conscience par les jeunes Egyptiens des abus de la et du , et fut la clé, avec d'autres pages contr?lées par d'autres mouvements de jeunesse, de la mobilisation du 25 janvier.
"Internet est l'espace de liberté du peuple, l'espace où chacun peut s' et , et "We are all Khaled Said" a joué un r?le crucial", témoigne l'avocat Gamal Eid, du Réseau arabe pour l'information sur les droits de l'homme. "Ghonim n'a pas d'idéologie. C'est ce qui fait sa force, estime la militante Mona Seif. Il a réussi à des gens comme lui, qu'on ne voyait jamais s' en . Il a parlé à tous." Wael Ghonim, qui a galvanisé le peuple égyptien à sa sortie de prison, lors d'un entretien à Dream TV puis d'un discours place Tahrir, fait référence à une "Révolution [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] 2.0". Un point de vue qui ne fait pas l'unanimité.
UNE COMMUNAUT? DE MILITANTS
le monde. Les internautes et blogueurs, adeptes de , et [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] YouTube, ont déclenché une mobilisation populaire qui s'étend [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] à presque tous les pays arabes. L'ic?ne de cette génération s'appelle , et il est égyptien.
Le pays de 80 millions d'habitants compte, selon , 24 millions de personnes connectées à Internet, dont près de 5,45 millions de comptes Facebook, 300 000 comptes et 250 000 . C'est suffisant pour efficacement des informations. "Chaque a au moins un membre connecté, via un ordinateur ou un smartphone", remarque . Tous admettent aussi la puissance de la télévision, et le r?le important qu'a joué la cha?ne qatarie Al-Jazira par son soutien affiché aux protestataires.
"La révolution n'aurait peut-être pas eu lieu sans ces outils, car il aurait été difficile de les gens, croit Mona Seif. En revanche, à de la manifestation du 25 janvier, Facebook et n'ont joué qu'un r?le marginal. Ce ne fut pas une révolution 2.0, ce fut une révolution de rue. Les gens seraient de toute fa?on restés place Tahrir jusqu'à la chute de Moubarak." La révolution égyptienne, ce furent aussi des discours enflammés, des prières, des combats, du sang versé. "Il est possible de déclencher une révolution en quelques clics, mais ensuite, c'est le peuple qui fait la révolution", estime la militante .
Wael Abbas s'aper?oit que "désormais, tout le monde reste connecté. C'est donc la meilleure fa?on d' des pressions sur l', de vigilants." Les partis traditionnels d'opposition, qui n'ont joué presque aucun r?le dans la révolution, vont d' à eux ces incroyables militants. Dans un pays où 65 % de la a moins de 30 ans, ceux-ci pourraient être la clé de l' politique de l'Egypte.

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