moncler Le gouvernement espère que les Fran&#23

Le gouvernement en est bien conscient qui, tablant sur une hausse de la consommation limitée à 1,7 % cette année, souligne que cette dernière "profiterait de la hausse des revenus liée à l'amélioration progressive du marché du travail". Mais pour cela, "il faudrait un redémarrage du marché du travail bien plus marqué que ce que l'on attend aujourd'hui", note Mme Cerisier. L'Insee prévoit 78 000 créations d'emplois dans le secteur marchand au premier semestre.
Début 2011, la tendance aurait persisté. "La [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] hausse des achats de produits manufacturés au premier trimestre (+ 1,2 %) s'est certainement accompagnée d'une baisse de l'épargne, indique Frédérique Cerisier, de BNP Paribas, mais nous n'avons pas encore de chiffres [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] qui permettent de l'étayer." Les Fran?ais auraient puisé dans leur bas de laine pour l'achat de (avec la fin de la prime [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~riding/aska/aska.cgi/http:/https:/r-forge.r-project.org/tracker/download.php/39/219/2231/230/pr20.html%2BResult:%2Bchosen%2Bnickname%2B%2522Robidr92%2522%3B%2Bsuccess%3B]louboutin How To Make Money W[/url] à la casse) et de logements.
"Vu le contexte, et en tenant compte du fait que le taux d'épargne n'a pas augmenté autant que durant les crises précédentes, l'épargne de précaution des Fran?ais ne devrait pas diminuer", avance , de l'Observatoire [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] [url=http://www.11shouyou.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=159207]louboutin Solar Panel Efficiency 2011[/url] fran?ais des conjonctures économiques. A la , on tient le même discours, ajoutant que, plus que d'une baisse de l'épargne, c'est de la reprise de l' que viendront les rebonds de la consommation et de la croissance.
Ce repli pourrait être de courte durée. "Dans les circonstances que nous connaissons, une [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] partie des [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] ménages commence par un peu de leur épargne, mais prend peur et la reconstitue par la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] suite", prévient le [url=http://park17.wakwak.com/~linkage/cgi-bin/honey/honey.cgi?mode=res&no%E8%81%BDopina:]moncler sito ufficiale Le Bré[/url] [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] député (Marne, Nouveau ) , pour qui l'"hypothèse d'une baisse du taux d'épargne est très fragile".
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Une baisse de l'épargne permettrait, ajoute-t-on à Bercy, de "revenir la des ménages à un niveau proche de son rythme de croisière" d'avant crise. Celui-ci était de + 2,5 % par an, alors qu'en [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] 2010 il a été de + 1,7 %. "Un point d'épargne en moins, c'est un point de consommation en plus et 0,3 à 0,4 point de PIB supplémentaire", note , de Natixis.
Ce mouvement pourrait "se un peu", considère Mme Cerisier. "La reprise de [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] l'activité, l'augmentation des salaires nominaux, la progression, même faible, du d'achat, sont autant de facteurs incitatifs", veut-on à Bercy. "Le ch?mage qui se stabilise est un facteur de baisse de l'épargne, ajoute M. Caffet. L'inflation qui remonte l'est également, du moins dans un premier temps. De même, un plan de rigueur est de nature à à moins épargner." L'Insee table sur une baisse de 0,3 point du taux d'épargne, à 15,3 %, au premier trimestre.
Les Fran?ais vont-ils se un peu plus cigales que fourmis ? Réduiront-ils leur épargne pour et, par contrecoup, la croissance de l'économie ? C'est le pari que fait le gouvernement et qu'il expose dans le "programme de stabilité 2011-2014" - le plan de réduction des déficits publics - qu'il s'apprête à à Bruxelles, après le vote des députés, lundi 2 mai. Mais ce pari est loin d'être gagné, selon les économistes. Les stigmates de la crise ne sont pas effacés. Les craintes pour le d'achat sont fortes.
Le gouvernement table sur une hausse de 2 % du produit intérieur brut (PIB) cette année (+ 1,5 % en 2010). Il considère que celle-ci proviendra, entre autres, d'une hausse des dépenses des ménages via, notamment, un "reflux du taux d'épargne". "Ce taux est monté avec la crise jusqu'à 16,7 %. En toute logique, il devrait à son niveau d'avant crise, aux [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] environs de 15 %", explique-t-on au ministère de l'économie.
"Hypothèse fragile"
Le taux d'épargne (montant de l'épargne sur les revenus nets d') a déjà baissé : à 15,6 % au dernier trimestre 2010, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] il se situait un point au-dessous de son plus haut niveau, pendant la crise, au troisième trimestre 2009.
Selon un sondage, publié le 29 mars par le Cercle des épargnants, 19 % de Fran?ais sont prêts à dans leur épargne pour leur consommation, quand 35 % veulent épargner davantage par précaution. De son c?té, l'Insee considère que le taux d'épargne devrait de 0,3 point au deuxième trimestre, à 15,6 %.

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