lancel La tiède vengeance de Metal Gear Rising

, créateur de la série , accolé à , célèbre pour ses beat'em all déjantés comme Bayonetta... Pour Metal Gear , jeu disponible sur XBox et PS3, l'éditeur Konami semble réuni les [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350246435893&ssPageName=STRK:MESE:IT]air jordan pas cher De nouvea[/url] meilleurs pour du sang neuf à la saga d'infiltration. "La première idée pour Rising Revengeance était de un monde ouvert, comme Assassin's Creed. Nous nous sommes ensuite attachés à la particularité du katana, et le jeu s'est alors orienté vers l'action. Nous avons mis en place un univers, mais l'équipe n'arrivait pas à se défaire des concepts de départ de la série : la découpe, l'action, et l'infiltration. Nous avions besoin que quelqu'un nous vienne en [url=http://www.lingshuizhongxue.cn/GuestBook.asp]nike air j[/url] , et le studio auquel j'ai immédiatement pensé était Platinum Games", expliquait Hideo Kojima, producteur de , lors d'une conférence à Paris en février.
Si cette technique apporte réellement une plus value par rapport aux canons du genre, ce nouveau Metal Gear souffre toutefois de la comparaison avec les chefs d'?uvre de Platinum, [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] comme Bayonetta. Le choix des armes, trop secondaire, et le nombre réduit de combinaisons d'attaques sont bien loin des . Dans Revengeance, les combats se suivent et se ressemblent, ponctués par une "fatalité" au katana. Aussi ?pres au combat que démesurés, les boss de fin de niveau permettent toutefois de du piquant au jeu.
Le scénario, plus minimaliste que Vanquish, une autre production de Platinum, laisse la désagréable [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] impression d'être dans un beat'em all générique. Nous sommes bien loin de la richesse scénaristique de la saga originelle, ou même des canons de la science-fiction japonaise comme Ghost in the Shell. Ce sentiment est renforcé dans le périple linéaire de Raiden, qui prend souvent la forme d'un couloir. L'univers fait de [url=http://chunfeel.com/home.php?mod=space&uid=115765][/url] centres scientifiques, de villes en ruines ou de buildings aux textures [url=http://www.achbanker.com/hollister.php]hollister france[/url] parfois grossières, semble [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti[/url] aussi impersonnel que les ennemis combattus par le protagoniste.
Dès les [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] premières minutes, l'histoire de Raiden appara?t comme une réinterprétation [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour[/url] futuriste réussie de la voie du samura?, déclinant tout au long du jeu les thématiques de [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] la vengeance et de l'honneur. La [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] force du studio Platinum est d' jusqu'au bout de ses choix de gameplay. C'est encore le cas dans Revengeance, [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] qui s'attelle à décliner la technique du sabre de Raiden.
Outre les boutons d'action classiques, permettant de déclencher une attaque, le joueur peut d'un stick pour l'angle de la découpe. S'ensuivent, dans la frénésie des affrontements, des encha?nements de coups portés à la vitesse de l'éclair, pour peu que le joueur se prête à l'apprentissage [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] nécessaire.
A ces difficultés s'ajoutent des défauts de mise en scène, notamment dans la gestion des caméras, qui rendent souvent les combats peu lisibles. La durée du jeu est enfin particulièrement problématique, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] surtout en fin de partie : en guise d'apothéose, le jeu coupe [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] court, avec d'ultimes chapitres achevés en quelques minutes.
"BEAT'EM ALL" G?N?RIQUE

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