qlklege041
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barbour Au Niger, 7 millions de personnes souffren |
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Autre enseignement tiré de la crise de 2005 : la nécessité de de la prévention en matière de malnutrition infantile. "Il est très important de en charge les enfants dénutris tant qu'ils sont encore à un stade modéré afin d'éviter qu'ils ne basculent dans la malnutrition sévère", insiste é, responsable des programmes [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour[/url] de Médecins sans frontières (MSF) au Niger. Le PAM complète donc les apports [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] nutritionnels distribués par des rations normales auprès des familles, afin que les produits destinés aux enfants ne soient pas partagés avec les adultes.
Plus de 7 millions d'habitants, presque la moitié [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140732749694]jordan pas cher 46 morts dans[/url] de la , sont menacés par la faim. La malnutrition est particulièrement alarmante chez les enfants en bas ?ge : selon un récent sondage gouvernemental, le taux de malnutrition aigu? est passé entre 2009 et 2010, de 12,3 % à 16,7 % chez les moins de cinq ans. Or, pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à 15 % le seuil d'urgence est atteint.
La priorité de la FAO est aussi de des semences et [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] des engrais aux agriculteurs pour la campagne de semis en cours, et d' du fourrage pour les animaux. "Il est essentiel de protéger les sources de revenus. Là où la nourriture existe, il faut l'économie", souligne Jean-Denis Crola. Et Fatouma Seid d' : "Si l'on veut éviter les crises à répétition, il faut, au-delà de la distribution [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] de vivres en nature, une aide plus structurelle."
"La nourriture est disponible sur les marchés locaux mais à des prix très élevés. Il faut y accès", relève Anne Boher. Au-delà de la distribution de vivres, l'aide internationale met l'accent sur les activités dites de "travail contre argent" afin de en état les p?turages et des travaux de lutte contre l'érosion.
Le programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM) a annoncé, mardi 20 juillet, une augmentation massive de ses opérations d'assistance dans le pays. Début juillet, le PAM avait déjà doublé le nombre de Nigériens (de 2,3 millions à 4,6) à qui il prévoyait de une alimentaire vitale en 2010. Désormais, il projette de 7,9 millions de personnes d'ici à la fin de l'année.
Reste que les financements demeurent insuffisants. Il manque 206 millions de dollars (160 millions d'euros) sur les 348 millions nécessaires selon l'appel lancé début juillet par les Nations unies. Or, il y a urgence. "La saison des pluies arrive. Il est donc essentiel que les gens aient les moyens de leur production pour réduire leur vulnérabilité et éviter que ne se reproduise le cercle vicieux de la crise", insiste , responsable d'Action contre la faim, en Afrique de l'Ouest. "Plus [url=http://babi.net.cn/thread-98995-1-1.html]giuseppe zanotti sneakers Going Native In The Beautiful Islands Of Hawaii[/url] on attend, plus la crise s'aggrave et plus cela co?tera cher en termes d'aide d'urgence...", confirme Mme Seid, de la FAO.
"Une des grandes différences par rapport à [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] 2005, relève é, présidente de [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] la section fran?aise de MSF, est la reconnaissance de la crise par le gouvernement nigérien". De fait, alors que le régime du président Mamadou Tandja, tombé le 18 février, tentait de l'ampleur de la crise, la nouvelle junte militaire a fait de la lutte contre les risques de famine, une priorité. Dès le mois de mars, elle développait des actions de distribution gratuite de vivres et de vente à bas prix de céréales, tout en lan?ant un appel aux bailleurs internationaux. "Cette attitude a favorisé une meilleure coordination entre gouvernement, organismes internationaux et ONG, dans la réponse apportée", insistent Michel-Olivier Lacharité et Mme Seid.
La population en est réduite à des stratégies de survie. Le nombre de repas [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] quotidiens est rationné, de trois il passe à un. Certains ont recours à la cueillette de plantes sauvages. Les familles s'endettent, vendent leurs quelques têtes de bétail afin de se . "Le bétail, c'est tout leur capital, insiste Jean-Denis Crola de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] l'ONG Oxfam, or, celui-ci a perdu de sa valeur en raison de son état". Une vache qui valait encore en janvier 150 000 francs CFA (230 euros) n'en vaut plus que 5 000. Aussi, cette année, des familles entières - et pas seulement des hommes comme cela arrive habituellement lors de la saison sèche - ont gagné les zones urbaines dans l'espoir d'y un peu [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] d'argent pour de la nourriture.
la catastrophe qui frappe une nouvelle fois leur terre asséchée : elles l'appellent "Ba Kanta" : crise sans issue. Au , pays au coeur de la bande sahélienne de l', encore marqué par la grande famine de 2005, la situation alimentaire n'a [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] cessé de s' depuis le début de l'année, suscitant des inquiétudes croissantes.
"Nous entamons une course contre la montre pour l'envergure de nos opérations aussi rapidement que se propage la faim", déclarait, mardi, , la directrice exécutive du PAM, lors de son arrivée au Niger. "Le pays n'en est pas encore au [url=http://www.xmxinyilong.com/viewthread.php?tid=35206&extra=]moncler Les ménages français ont le moral[/url] stade de la famine, mais si on n'agit pas vite, on y va tout [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]boots ugg pas cher[/url] droit", appuie , responsable des interventions d'urgence de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), en Afrique de l'Ouest.
Depuis des mois, nombre de paysans sont déjà entrés en "période de soudure", ce laps de temps entre l'épuisement des réserves et la nouvelle récolte, et qui s'étend normalement d'avril-mai à septembre-octobre. "Cette période est d'autant plus difficile cette année, qu'elle a commencée dès février pour beaucoup de familles", souligne représentante de l'Unicef au Niger.
Fin 2009, les pluies insuffisantes et erratiques ont amputé la campagne agropastorale, avec une baisse de 30 % de la production céréalière et de près de 70 % de la récolte fourragère destinée aux cheptels. Une perte qui a aggravé la situation déjà difficile provoquée par la hausse constante des prix des [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] denrées alimentaires, lesquels demeurent obstinément élevés.
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