www.achbanker.com/home.php En France, le nombre de

Cette explosion des minima a une raison simple : la hausse très forte du ch?mage de longue durée. Les ch?meurs inscrits depuis plus de trois ans à P?le emploi étaient ainsi 21,8 % de plus en juillet qu'un [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] an plus t?t. La durée d'indemnisation maximale est de deux ans sans activité. "Début 2011, il y a [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] eu un petit rebond de l'emploi qui a pu à des ch?meurs de réacquérir des droits. Mais la nouvelle hausse du ch?mage entamée depuis 2012 a fait plus de ch?meurs dans les minima sociaux", constate Mme Ferrand.
Au-delà des six derniers mois, cela fait [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] quatre ans que le taux d'indemnisation dépasse à peine les 40 %, contre 55 % dans le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] milieu des années 2000. Alors que la France compte un million de demandeurs d'emploi de plus [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] depuis le début de la crise, elle ne les indemnise donc pas mieux. "La convention ch?mage signée en 2009 est responsable de cette baisse, plaide , chargé des questions d'emploi à la CGT. Avant, un ch?meur pouvait bénéficier de 23 mois de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ch?mage s'il avait travaillé seize mois. Ce n'est plus le cas, et comme le travail précaire augmente, le nombre d'indemnisés ne [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] suit pas."
Touche moins sombre dans le tableau, l'Unedic avance [url=http://www.ecstasyaqlhv.fora.pl/everybody-got-half-resting-vampire-smiled-ambien-and-sleep-driving-fork,1/barbour-uk-outlet-psa-ikea-pays-bas-la-semaine,4194.html#4262]barbour uk outlet PSA, Ikea, Pays-Bas la semaine[/url] aussi une autre raison au tassement de l'indemnisation : la progression de l'activité partielle chez les demandeurs d'emploi. Chez ceux qui travaillent assez, l'indemnisation peut être suspendue parce qu'ils ont trop gagné. La hausse des contrats très courts plaide en ce sens.
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Une tendance qui devrait se : l'Unedic ne prévoit d' que 7 300 ch?meurs en plus en 2013, alors qu'elle pronostique une hausse bien plus importante du nombre de demandeurs d'emploi.
A c?té, 628 000 ch?meurs ne bénéficient ni d'une indemnisation ni des minima sociaux. Soit parce qu'ils ont moins de 25 ans, soit parce que leur foyer dépassait les plafonds de revenu.
Les études, très sensibles, de l'impact du changement de règles sur le nombre d'indemnisés ne sont pas rendues publiques par [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l'Unedic. La renégociation de la convention, prévue pour 2013, devrait peut-être enfin d'y plus clair. Reste qu'avec une dette qui devrait 17,7 milliards en 2013, l'Unedic n'aura vraisemblablement pas de quoi des miracles.?
Reste [url=http://www.hlxjsj.gov.cn/E_GuestBook.asp]barbour uk[/url] que de plus en plus de ch?meurs plongent dans les minima sociaux. Le nombre de bénéficiaires de l'allocation spécifique de solidarité [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] (ASS), versée aux ch?meurs en fin de droits qui ont pu de cinq ans d'activité au cours des dix dernières années, a bondi de près de 15 % en un an.
L'assurance-ch?mage est encore incapable d' précisément cette tendance, mais avance quelques pistes. "Crise oblige, les entrées au ch?mage ne se font plus forcément avec les quatre mois de travail obligatoires pour des droits au ch?mage. Le nombre de ch?meurs en fin de droits augmente aussi depuis le début de l'année", indique [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] la direction [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] de l'organisme, sans être en mesure de l'impact de chacune de ces .
Une analyse réfutée par Mme Ferrand. "Au contraire, la convention de 2009 a permis d'améliorer l'indemnisation des ch?meurs en permettant de les allocations dès quatre mois d'activité, contre six auparavant. Si le taux d'indemnisation baisse, c'est uniquement en raison de la longueur de la crise", affirme-t-elle.
Celui des ch?meurs bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), de 11 %. Plus d'un million de ch?meurs doivent se des minima sociaux. "Le passage de l'indemnisation aux minima se traduit par une baisse subite et [url=http://www.kailiren.com/home.php?mod=space&uid=317139][/url] brutale des revenus", rappelle avec inquiétude , la vice-présidente CFDT de l'Unedic.
supplémentaires ont été recensés à l'assurance-ch?mage.
Selon les chiffres du ministère du travail, les ch?meurs ayant basculé dans les minima en 2010 voyaient leurs revenus divisés par deux. L'ASS, comme le RSA, ne dépasse pas 470 euros par mois pour un célibataire sans enfant.
A P?le emploi, on tient à : "Il n'y [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] a pas de chute de l'indemnisation. Le taux de ch?meurs indemnisés est le même qu'avant la crise de 2008." La direction de l'organisme explique que la très forte hausse du nombre d'indemnisés survenue les premiers mois de la crise est due aux licenciements de salariés du secteur de l' qui bénéficiaient de droits suffisants. La période suivante, depuis deux ans, est marquée par l'entrée au ch?mage de salariés aux contrats nettement plus précaires, et donc avec moins de droits au ch?mage.

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