nike air jordan pas cher La France malade de ses s

Ne pouvant plus, comme par le passé, corriger les dérives des co?ts de production par des dévaluations, la Maison France est devenue, au fil des années, une entreprise de plus en plus chère, les entreprises fran?aises ont alors recherché par tous les moyens à réduire la part des frais de personnels, la variable la plus élevée de leurs co?ts de production?: en automatisant au maximum, en améliorant la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] productivité physique, en délocalisant, en licenciant... quand elles ne cessaient pas leurs activités. C?est ainsi que des pans entiers de notre tissu industriel ont disparu.
Nos politiques sont aussi tombés dans le même travers de la facilité en privilégiant la relance par la demande plut?t que par l?investissement pour acheter la paix sociale.
Les mauvais réflexes acquis pendant plus de trente années de malheureuses habitudes ne pouvaient cependant se perdre du jour au lendemain.
Dégradation des facteurs... et recherche de solutions...

Nous pourrions aussi transférer progressivement ? par étalement dans le temps ? toutes les charges sociales dites patronales sur tous les salariés, y compris les fonctionnaires.
Pour les syndicats, réduire les salaires reste une aberration. Ils sont depuis longtemps adeptes [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] des théories keynésiennes pour justifier leurs revendications salariales. Pour eux, le dogme est R = C + E. Vous voulez augmenter la croissance et son corollaire, la consommation?? Augmentez les salaires?! C?est simple et efficace. C?est aussi oublier que, comme dans toute équation, les évolutions sont réversibles et que les facteurs économiques sont flexibles.

d?achat exprimé en unités physiques.
Par exemple, dans l?hypothèse d?une baisse de la consommation consécutive à la [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] baisse des revenus, les entreprises ? dont le moteur de décision est le profit, mais aussi - on l?oublie souvent ? la part de marché ? réagiront pour ne pas perdre de position sur les marchés tant au regard de leurs propres clientèles que de leurs concurrents, d?autant mieux qu?ils auront bénéficié des baisses de leurs co?ts de production
Une telle politique économique nourrissait l?inflation, mais avait aux yeux des salariés l?avantage de réduire au fil des années le poids de leurs emprunts au moment même où la classe politique les incitait à acquérir leurs logements. Concurremment, les effets pervers de l?inflation sur notre outil de production étaient régulièrement corrigés par des dévaluations périodiques.
Si la priorité des responsables de la Maison France est de protéger les revenus des Fran?ais nantis d?un travail ? presque des privilégiés ?, ils seront contraints ? parce qu?ils ne peuvent escompter une relance économique importante avant longtemps ? de conjuguer baisse du nombre des actifs avec délocalisation, désindustrialisation, politique d?emplois aidés et, pour finir, baisses des recettes fiscales, aggravation des déficits budgétaires et recours au [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] F.M.I....avec, en fin de parcours, une inévitable perte de pouvoirs d?achat pour nous et nos enfants.
Quand on étudie l?histoire de l?économie fran?aise depuis la Seconde Guerre Mondiale, on ne peut qu?être frappé par le formidable???coup de pouce?? donné à l??conomie en 1952 par Antoine Pinay - ??le défenseur du Franc?? ? en mettant en place, après la Grande Grève des Postes d?ao?t1952, l?échelle mobile des salaires qui a eu le double effet d?assurer une relative et longue paix sociale et une augmentation continue, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] mais pour partie nominale des salaires.
Et pourtant, nos politiques ? par principe, traceurs d?avenir ? seront bien un jour obligés de montrer ? et de démontrer ? la voie de la rigueur si l?on veut que la Maison France conserve ses capacités de production et de partage des richesses.

Il ne s?agirait pas cette fois-ci, comme l?avait proposé dès 1945 Pierre Mendès-France au Général de Gaulle, de bloquer d?autorité les salaires et les prix. Le corps social ne le supporterait pas.
Au regard de beaucoup, une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] telle évolution peut sembler irréaliste, impensable, irréalisable. Elle est pourtant plausible.

Comment y parvenir??
Si la priorité des responsables de la Maison France est le plein emploi ? pour autant que [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] cet objectif soit accessible ?, il leur faudra bien s?attaquer aux composants de sa masse salariale. ? masse salariale constante, augmenter le nombre d?actifs pour réduire le ch?mage se traduira bien volens nolens par une réduction des salaires.
Des Trentes Glorieuses... au Ralentissement...
Les effets de la baisse des salaires
Du point de vue des [url=http://chass.hnjdzy.net/continue/wygkcn_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] entreprises, toute réduction des co?ts de production est la bienvenue?: l?amélioration de la compétitivité et des marges rendra ces entreprises plus agressives sur les marchés extérieurs.

Ce qui fait qu?après une période de réajustement, le consommateur retrouvera son pouvoir
Et puis qui a dit que nos concitoyens ne seraient pas capables ? si on leur expliquait enfin les [url=http://jmfu.com/joyful/joyful.cgi]doudoune moncler En 2012, deu[/url] enjeux ? de comprendre où se trouve le courage??
Si les revenus devaient baisser, il y aurait certes sur le moment déflation ? pas nécessairement décroissance. Il y aurait aussi réajustement sur le moyen terme des facteurs économiques.
Les Organisations syndicales, étant dans leur r?le, ont continué à réclamer des augmentations de salaire pour ??soutenir la demande... donc la croissance??...
Ces schémas tout à fait réalistes se heurteront évidemment à la réaction des consommateurs-électeurs... et donc aux politiques
Pour y parvenir, nos gouvernants devront faire [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] preuve de beaucoup de conviction, de courage et de sens pédagogique. Mais pourquoi n?auraient-ils pas ce courage [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] puisque, avant eux, leurs homologues allemands l?auront eu avec l?accord de leurs syndicats suivis par les gouvernants irlandais??
Comment sortir de cette situation [url=http://web.wjxaxx.net/E_GuestBook.asp]jordan pas[/url] critique?? Tout dépend de nos politiques et de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] leur volonté de trouver une solution.
Nous pourrions aussi budgétiser les dépenses sociales, ce qui se traduirait par une augmentation de la pression fiscale, mal acceptée, parce que mal répartie.
Ce sont les Socialistes qui, après 1981, vont prendre des mesures -assez inattendues venant de leur part - ramenant notre ?conomie sur une voie plus ??orthodoxe???: en 1982, le lien entre salaires et indice des prix est un peu plus [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] distendu et à partir de 1983, le franc est un peu plus ??accroché?? au SME, assurant ainsi la [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] stabilité de la parité monétaire avec nos partenaires européens, mais limitant du même coup les ??manipulations?? monétaires.
Devant une telle détérioration de l?Emploi, nos Politiques ont continué à nous promettre de redresser la situation.... et des lendemains qui chantent... mais comme ils n?y croyaient pas eux-mêmes et qu?ils étaient désarmés, leur seule proposition a consisté à injecter encore et encore, hier comme aujourd?hui, dans le circuit productif, des emplois aidés qui n?ont qu?un temps d?efficacité et qui creusent encore plus le déficit public.
J. Enxérian

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