qlklege041
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jordan pas cher Un an de lutte contre les algues v |
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DE LOURDES EXIGENCES POUR LES AGRICULTEURS
On comprend, dès lors, l'ampleur des efforts qu'il faudrait pour se débarrasser des marées vertes. "C'est tout le système de production agricole qu'il faudrait changer, lance Jean-Paul Guyomarc'h. ?a ne se fera pas du jour au lendemain..." Pour l'instant, l'Etat a commencé à des actions de contr?le dans les exploitations agricoles, explique Bertrand Guizard. Des de sol après permettent de déceler les excès de nitrates. Premiers résultats?: environ un quart des agriculteurs auraient sur-fertilisé leurs champs. D'ici la fin de l'année, toutes les exploitations ICPE () seront également contr?lées. Et les exploitants doivent déclarer tout achat, vente ou échange d'engrais azoté.
Ces actions de "? de l'environnement?", selon l'expression de Bertrand Guizard, permettent d', d' et dans certains cas de les exploitants qui ont la main lourde sur les nitrates. [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] Mais c'est surtout dans les "projets de territoire", largement décentralisés et concertés, que [url=http://www.rkms7.fora.pl/forum-help,16/barbour-outlet-sept-a-suffit-pour-lom-contre-zili,19209.html#61487]barbour outlet Sept a suffit pour lOM contre Zili[/url] se jouera (ou non) la transformation des pratiques [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] agricoles. Sur les huit baies prioritaires, une seulement a commencé à (Lannion) et une autre devrait son projet ratifié par l'Etat sous peu (Saint-Brieuc). Suite du programme?: la baie de Concarneau à la fin de l'année, et les cinq dernières au premier semestre 2012, selon la préfecture.
En fait, à l'image de ces deux sites pilotes, les réponses diffèreront en fonction du contexte local. Ainsi, à Lannion, 170 exploitations, presque toutes laitières, se sont mises d'accord sur une série de mesures?: 60% de la surface agricole utile (SAU) passe en herbe – peu fertilisée – ; l'apport d'engrais azoté est réduit de 10% ; les zones humides, aux propriétés dénitrificatrices, sont préservées sur la moitié de la SAU... A Saint-Brieuc, il est plus difficile de les 1?500 exploitations, beaucoup plus variées. Du coup, nombreux sont les points où les ambitions ne sont pas à la hauteur, estime Jean-Paul Guyomac'h?: refus de la taille du cheptel, 20% de la SAU concernée par la préservation des zones humides, conversion de [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] seulement 30 exploitations à l'agriculture bio – en-de?à des objectifs du Grenelle – etc.
Au-delà de la difficile transition [url=http://www.importia.com/index.php/forum/newtopic]barbour Des geysers sur Encelade[/url] des agriculteurs bretons, 'h évoque aussi [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] les réticences des fabricants d'engrais azotés, qui voient d'un mauvais oeil la limitation de leurs produits. Et derrière ces lobbys agro-industriels, les intentions ambivalentes du gouvernement. Car à c?té du plan national, "depuis juin, deux nouveaux décrets prévoient d' de 20% les terres agricoles concernées par l'épandage d'effluents d'élevage, qui libère des nitrates, s'indigne M. Guyomarc'h. Il faut arrêter de les Bretons pour des imbéciles."
Premier volet?: dispara?tre au plus vite ces bancs d'algues échouées, dont [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] les [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] quantités ramassées atteignent plus de 70 000 m3 certaines années. De ce c?té, la mise en branle du plan ne s'est pas fait . "Les algues sont collectées quotidiennement depuis l'année dernière", affirme Bertrand Guizard, chargé de mission à la préfecture de . Partout, sauf "dans les criques et les sites inaccessibles", précise Jean-Paul Guyomarc'h, scientifique à l'association Eau et rivières de Bretagne. Ensuite, certaines sont épandues comme fertilisant dans les champs, mais elles seront toutes compostées d'ici un an, assure la préfecture.
Si la mise en ?uvre du plan est si ardue, c'est que pour les agriculteurs, les exigences sont élevées. "On sait que nous seront les premiers contributeurs au plan algues vertes", lance Danielle Even. Malgré la conscience d' sa part de solutions à et les efforts déjà consentis, d'autres préoccupations entrent en jeu?: "C'est notre responsabilité, aussi, de la production agricole en Bretagne, de préserver les 40% d'emplois bretons dans ce secteur, de un niveau de vie décent chez des éleveurs déjà en difficultés financières", estime l'agricultrice.
TOUT UN SYST?ME AGRICOLE ? REPENSER
Pour l'instant, le Comité scientifique estime que les deux projets – de Lannion et de Saint-Brieuc – "proposent des actions dont l'ambition globale risque d'être [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] insuffisante (...) pour des résultats tangibles sur la réduction des marées vertes", en ne mettant pas "suffisamment la priorité sur des pratiques diminuant massivement les apports d'azote sur les terres". Mais "c'est un premier pas. Et on en fera d'autres...", tempère , éleveuse et secrétaire générale de la chambre d'agriculture des C?tes d'Armor.
Au-delà de cet aspect "curatif", c'est la prévention des marées vertes qui est en jeu – avec au c?ur du problème, comme le reconna?t le document national, les nitrates, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] majoritairement dégagés par les sources agricoles. Ambitions affichées par le plan?: une réduction de 30 à 40% de ces flux de nitrates dans les huit baies. Des objectifs en pourcentage qui, pour Alain Menesguen, ne sont pas valables. Car au-delà d'une certaine concentration, située aux alentours de 15mg/L de nitrate dans les rivières, les algues vertes ne prolifèrent pas plus?: peu importe qu'il y en ait un peu plus ou un peu moins. "Or aujourd'hui, la moyenne en Bretagne est de 30 mg/L, bien au-delà du seuil [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de saturation. Et même si on atteint 15 mg/L, on diminuerait seulement de moitié les marées vertes. On ne reviendrait pas aux plages vierges d'algues dont se souviennent les anciens?: les rivières contenaient alors seulement 3 ou 4 mg/L!", explique le scientifique de l'Ifremer. Pour des résultats, il faut donc à en dessous de 15 mg/L de nitrate.
A CHAQUE BAIE SA R?PONSE
(PDF), l'hécatombe de sangliers sur une [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] plage des C?tes-d'Armor – se trouvait du gaz dégagé par les algues en décomposition – vient une fois encore que la dangereuse prolifération de cette flore marine [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] est loin d'être endiguée.
Voici maintenant quarante ans que les premières marées vertes ont été repérées sur [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le littoral breton. Elles concernent aujourd'hui 109 [url=http://navi.itoo.info/toyo/review/epad.cgi]hollister How Do I Put It All[/url] sites, selon un . "Vingt ans de politiques anti-algues vertes n'ont pas vraiment démontré leur efficacité", constate , scientifique à l'Ifremer (Institut fran?ais de recherche pour l'exploitation de la mer). Dernier effort en date?: le Plan algues vertes, lancé en février 2010, se concentre sur huit baies prioritaires, alimentées par 23 bassins versants. 3 500 exploitations agricoles sont concernées.
DU CURATIF AU PR?VENTIF
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