qlklege041
Joined: 19 Jul 2013
Posts: 9718
Read: 0 topics
Warns: 0/10 Location: England
|
|
jordan pas cher Le marché déprimé |
|
Mais qui touche quoi, sur les 15 ou 20 euros que co?te en France un CD ? L'UFC-Que Choisir propose la décomposition suivante du prix du CD (hors taxe) :
Pour le décalage fran?ais, Julie Harari, porte-parole de l'IFPI, avance deux explications : "D'une part, le répertoire local a toujours été très dynamique en France, et l'est encore maintenant. Au début de l'année 2003, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] artistes fran?ais comptaient pour 60 % du [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] marché, et 17 des 20 albums les plus vendus étaient fran?ais. D'autre part, ce répertoire est généralement [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] tourné vers une classe d'?ge légèrement plus ?gée, et donc moins encline à télécharger illégalement de la musique sur Internet."
A sur la Toile :
LE CO?T D'UN CD ET LA TVA
Autre piste explorée par Universal aux Etats-Unis : la baisse du prix de vente conseillé de ses CD. Depuis le premier octobre 2003, celui-ci est de 12,98 dollars, soit une réduction de 25 à 30 % de sa valeur antérieure. Une baisse obtenue non par une diminution des marges de la major, mais par une réduction de son budget publicité : moins de marketing développé dans les magasins, entre autres. Les maisons de disques fran?aises suivront-elles l'exemple ? Rien n'est moins s?r. "L'élasticité du prix ne fonctionne probablement que sur de jeunes artistes en développement, répond Hervé Rony, directeur général du SNEP. Si demain vous vendez des CD de Johnny Halliday à 12 euros au lieu de 20, vous n'en vendrez pas un de plus. Or il faut attention : si vous baissez brutalement le prix des CD qui figurent au top 50, vous en vendrez un peu plus à la marge, mais en revanche allez tous les profits que fait l'industrie" et qui servent à développer d'autres artistes
- Le prix du CD selon la
Au niveau mondial, le secteur a enregistré une baisse de 10,9 % de son chiffre d'affaires sur [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister outlet[/url] les six premiers mois de 2003, selon les chiffres de la Fédération internationale de l' phonographique (IFPI), le syndicat de la profession. Cette baisse va en s'accélérant, puisque les chiffres pour l'année 2002 faisaient état d'une diminution de 7 %, tandis que ceux de 2001 étaient déjà en régression.
- 19 % correspondant à la redevance versée aux artistes. Ce chiffre, avancé par le SNEP, est contesté par certains, affirmant qu'il s'agit de la part versée aux seuls artistes confirmés ;
Leurs comptes basculant dans le rouge, les maisons de disques se trouvent contraintes de réduire leurs co?ts par tous les moyens, y compris en rognant sur l'. A la mi-octobre 2003, Universal Music a annoncé la suppression de 800 emplois dans le monde avant [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] le début de l'année 2004, ce qui porte à 1 350 le nombre de postes supprimés par la major en l'espace d'environ un an.
- 7 % de droits d'auteur, versés au parolier et/ou au [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] compositeur ;
(25,9 % du marché en 2002), suivi de Music (14,1 %), EMI (12 %), Warner Music (11,9 %) et BMG (11,1 %). Les producteurs indépendants détiennent les 25 % restants.
[url=http://www.move-grp.co.jp/p/postmail.cgi]giubbotti peuterey TAG Heuer [/url]
Après deux années d'embellie, le marché fran?ais rejoint la tendance mondiale à la baisse. Selon les chiffres du SNEP (Syndicat national de l'édition phonographique), le nombre de CD vendus a chuté de 8,9 % au cours des neuf premiers mois de l'année 2003, pour un chiffre d'affaires en régression de 13,5 %. Dans sa note de conjoncture, le SNEP précise que le marché du disque audio stricto sensu a régressé en réalité de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] 15,6 % : une chute en partie enrayée par l'essor des musicales, VHS et DVD (+ 54 % en valeur ; + 76 % en volume).
LES PARADES DES MAJORS
Dans cette course à la concentration, EMI a perdu une manche fin novembre 2003. Warner Music, sur laquelle lorgnait de longue date la major britannique, a finalement été cédée par Time Warner à un groupe d'investisseurs emmené par Edgar Bronfman Junior.
Marie Béloeil
A cela s'ajoutent les 19,6 % de TVA imposés sur le disque en France. Depuis des années, les professionnels de l'industrie musicale réclament auprès de Bruxelles que ce taux soit ramené à 5,5 %, soit celui appliqué au livre. Sans succès pour l'instant. "Il faut le prix du disque", insiste Hervé Rony, directeur général du SNEP. Hostile à l'exemple d'Universal aux Etats-Unis, il préfère une éventuelle baisse du prix du CD sur une réduction des taxes. "Une baisse de la TVA nous inciterait à nous-mêmes un peu nos prix et à en dessous de la barre symbolique des quinze euros", se justifie-t-il. Du c?té de l'UFC-Que Choisir, on fait la moue : "La lourdeur de cet imp?t indirect ne doit pas la réalité du prix des CD, notamment en France où ils sont excessifs. Maisons de disques et distributeurs se partagent les trois quarts du g?teau, quand les auteurs, compositeurs et interprètes sont logés à la portion congrue."
Autre parade adoptée face à la crise qui touche le secteur : la concentration des activités. Le 6 novembre 2003 a été annoncée la fusion [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] entre Sony Music et BMG. La filiale du géant japonais de l'électronique grand public et le p?le musique de l'empire des allemand Bertelsmann ont signé "une lettre d'intention non contraignante", pour une co-entreprise détenue à parité. La nouvelle entité, avec 25,2 % [url=http://www.gamatic.com/forums/discussion/15442/woolrich-uomo-harry-looked-all-around-him]barbour outlet Use MLSP To Build Your MLM With Facebook Marketing[/url] de part de marché, viendra de près le leader du secteur, Universal Music. L'accord ne concerne cependant que la mise en commun des catalogues : l'exploitation des droits, la distribution de CD et la production sont écartées de la transaction. Il appartient maintenant aux autorités de la concurrence, à Bruxelles et aux Etats-Unis, de l'accord. Rien ne dit qu'elles verront d'un bon ?il cette réduction du nombre d'acteurs sur [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] le marché.
Le prix excessif des disques fait en tout cas partie des arguments régulièrement avancés par les internautes pour leur engouement [url=http://www.cndoso.com/zhidao/question.php?qid=520745]will not spread. He thinks[/url] pour le P2P. Au grand désarroi de la filière musicale, qui estime qu'un tel discours méconna?t la réalité du secteur. Pour Akhénaton, chanteur du groupe de rap marseillais IAM, le prix du CD est "celui de l'impalpable". La RIAA, la très puissante association américaine des maisons de disques, ne dit pas autre chose, lorsque qu'elle affirme que "la composante la plus importante du CD est l'effort fourni par l'artiste pour développer sa musique." "Seul un disque sur sept ou huit nous fait de l'argent. C'est avec ces bénéfices que nous pouvons à la machine, sachant qu'un artiste qui vend peu aujourd'hui peut beaucoup demain", affirme pour sa part Eric Tong Cuong, PDG d'EMI France.
BAISSER LE PRIX DU DISQUE ?
- 22 % de frais de distribution.
- Les arguments de la pour une baisse de la TVA sur les CD.
- 52 % pour les maisons de disques : part qui recouvre les frais d'enregistrement (3 %), la fabrication du disque (11 %), la promotion (16 %), les frais [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] généraux (13 %) et la marge d'exploitation (9 %) ;
[url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url]
The post has been approved 0 times
|
|