hollister sale Femmes sous influence, version syri

Tout est dans sa tête. Le tournage pourra dès qu'il aura l'argent, répète-t-il. Dans le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] programme de formation DOCmed, que dirige notre traducteur, Raed Zeno apprend depuis le mois de mars à s'auto-produire, à éclaircir ses qui le hantent. Il ne veut pas la Syrie, comme tant d'autres. Son gagne-pain se trouve dans le monde arabe, dit-il, où il peut à peu près tous les métiers de la réalisation, depuis le tournage jusqu'à la post-production. Et puis il y a Elles, le de son documentaire. Sa famille habite entre Homs et Hama. Lui réside à Damas. " Le seul fait d' de chez moi à chez eux, avec une caméra, est risqué. L'autre jour, une bombe est tombée à c?té [url=http://bbs.yuxue.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=704671]air jordan Inbound Link Constructing The Simplest Way To Generate Customers[/url] de mon habitation. J'aurais pu . Je veux d'abord le film. Ensuite, peu importe... ".?
A table, le lendemain, dans une brasserie, il a préféré s' en arabe, le producteur libanais Jad Abi Khalil assurant la [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751927900]www.achbanker.com/home.php La[/url] traduction. Cela valait mieux. Les épisodes de la vie de sa grand-mère, de sa mère, de sa soeur et de sa nièce, fillette ?gée de quatre ans, sont complexes et appellent tellement de nuances... La répétition des traumatismes, leur transmission de mère en fille, n'ont cessé de l'enfant, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] puis l'adolescent. " J'ai toujours vu ma mère ", dit Raed Zeno. Devenu cinéaste, il a décidé d' les bo?tes de matriochkas. Sa grand-mère s'est prêtée au jeu. Mieux, elle lui a dit : " Je veux que le monde connaisse mon histoire ". Puis elle est morte, il [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] y a un mois. Les images de la dame, capturées par la mini-caméra numérique, " ne sont pas d'une grande [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] qualité ", mais elles sont le point de départ d'un récit traumatique.
. Seulement la maison, l'intérieur et la vie familiale. Cela suffira à la violence de la société syrienne, assure . C'est le projet de son documentaire.
Eventuellement, les enfants devenus adultes servent de paravent à l'un des leurs. " Dès que j'ai été grand, j'ai pu défendre ma mère contre mon père ", explique Raed. Quand il a demandé à sa nièce ce qu'elle comptait , plus tard, la petite lui a répondu : " Policière, pour des gens ". Raed Zeno a voulu . " C'est ce que je vois à la télévision... ". L'enfant lui a aussi confié que sa ma?tresse la frappait, alors qu'elle n'avait pas commis aucune faute. Puis Raed [url=http://www.sxcdmpa.cn/../admin/index_face.asp]Reckitt Benckiser mise sur Scholl et Durex pour poursuivre sa croissance effrénée[/url] Zeno a voulu comment son père avait été élevé. Avec brutalité, lui aussi. " D'une [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] certaine fa?on, en tant qu'homme il a été dominé [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] par le système ".
Son père était chanteur. Pendant des années, il a exprimé ses talents... dans l'. L'?ge de la retraite [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] ayant sonné, il a pu , enfin. Il rêvait d' un disque, de la belle vie. Il a [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] eu la possibilité de un contrat au Koweit. Enfin presque. " Au moment de avec un producteur, Saddam Hussein a envahi le pays. Tout s'est écroulé, et ses rêves de chansons avec. Aucune autre chance ne s'est offerte à lui ". Il marque une pause, avant [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] de s' à voix haute : " Est-ce qu'on peut l'histoire pour [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] que toute la société syrienne est comme ?a ? Je [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] pense que oui. La situation de ma n'est pas isolée. De l'école à l'?ge adulte, et dans les histoires d'amour, soit on accepte le masochisme, soit on devient sadique. En Syrie, il y a ce que les occidentaux voient. Et en-dessous, il y a ce qu'ils ne voient pas. Mais, tant qu'on n'aura pas travaillé sur cette violence dans la sphère domestique, et intime, il n'y aura pas d'avènement possible de la démocratie ".
Le cinéaste de 34 ans, qui a étudié les plastiques à Damas, disposait d'une minute pour présenter son premier long métrage. C'était lundi 29 octobre, pendant le festival Cinemed, à Montpellier (du 26 octobre 3 novembre), dans une salle sans charme [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] du Corum. Dans ce laps temps si court, le jeune homme aux boucles brunes a réussi à éveiller un grand intérêt. " Je voudrais quatre générations de domination masculine, et établir un parallèle avec la situation en Syrie ", a-t-il résumé en anglais. Puis il s'est rassis.
C'est une histoire de violences en cascades. et verbales. Le grand-père sur ses filles. Le mari sur sa femme. La mère sur sa fille, et ainsi de suite, tout le monde se contamine. " Ma grand-mère a eu sept filles, et pas de gar?ons. Cela n'a pas arrangé sa situation. Ni celle de ses filles. Celles-ci ont subi des violences plus ou moins grandes. Mon grand-père les a forcés à se à 9 ans, 10 ans ou 11 ans. Ma mère était l'une d'elles. Elle m'a eu à 15 ans ".

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