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Les groupes pétroliers veulent à tout prix éviter d'être accusés de les poches des automobilistes ; où d'être taxés de supplétifs du fisc et de l'Etat. Même s'ils sont conscients qu'avec leurs 30 000 emplois directs dans le raffinage, ils pèsent moins lourds que les automobiles dans la bataille de lobbying qui s'engage, les industriels du ne renoncent à leur cause.
Le constat de départ est simple : depuis des années, la fiscalité sur les carburants est bien plus favorable au gazole [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] qu'à l'essence avec une différence de l'ordre de 20 centimes [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] par litre. Cet écart de fiscalité au profit du diesel a conduit à une importante diésélisation du parc et entra?né un déséquilibre de ventes de carburants au profit du gazole.
Pour remédier à [url=http://gemviewfarm.com/store/item/11112]hollister sale Finding A Reliable Limousine Hire C[/url] ce problème sans se à dos les Fran?ais et les constructeurs automobiles, l'UFIP suggère donc un mécanisme qui s'étendrait sur plusieurs années et se traduirait par une réduction de l'écart de fiscalité entre le diesel et l'essence de un à deux centimes par an. Cette convergence passerait par une baisse [url=http://www.lake-s.com/spring/bbs/spring.cgi]doudoune moncler Office Desig[/url] des taxes sur l'essence qui serait compensée par un relèvement de celles portant sur le diesel. A d'exemple, si l'on réduisait d'un centime les taxes appliquées à l'essence, il faudrait de 4 centimes celles affectant le diesel pour un montant équivalent de rentrées.
Résultat, dans un contexte de baisse de la de carburant en [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] et de surcapacité du raffinage, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] les raffineries fran?aises se retrouvent avec des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] stocks d'essence sur les bras. La France vit même cette situation paradoxale qui la voit du gazole (20,5 millions de tonnes en 2012) et de l'essence (4 millions de tonnes l'an dernier).
Celui-ci représente plus de 80 % des volumes écoulés dans les stations-service fran?aises, soit environ 40 milliards de litres contre 10 [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] milliards de litres [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] pours le SP 95 ou 98. Et c'est là que [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] se pose le problème industriel que doivent les pétroliers. Avec un [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] baril de pétrole brut, une raffinerie lambda produit en moyenne 30 % de gazole, 20 % de supercarburant, le reste se partageant entre kérosène, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] fiouls et bitumes. Parfois, comme à Gonfreville (Seine-Maritime) où des investissements ont été réalisés par [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] Total, la part du gazole peut jusqu'à 40 % "mais cela ne suffit pas à co?ncider la demande et l'outil de raffinage", explique-t-on à [url=http://www5d.biglobe.ne.jp/~kitacky/cgi-bin/yybbs.cgi]hollister france Article Mark[/url] l'UFIP.
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