hollister france Olivier Py laisse Carmen sans v

A se si les chanteurs n'ont pas été engagés sur leur . Carmen : la mezzo Josè Maria Lo chante trop bas la plupart du temps. Son phrasé est incohérent, son fran?ais exotique. Elle [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] n'a pas les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] moyens du r?le. Don José : le ténor coréen, Yonghoon Lee (beau mec qui pourrait dans les films de ) est un affidé des répertoires verdien et puccinien.
, autant il est difficile à en scène" : ce constat liminaire d'Olivier Py dans le programme de l'Opéra de Lyon dit sans le "Prends garde à toi". Rarement le metteur en scène, champion des Contes d'Hoffmann d'Offenbach (Genève, 2001), du très wagnérien Tristan (Genève, Grand Prix de la critique en 2005), de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] la superbe Lulu de Berg en 2010 (Genève toujours), ne se sera autant caricaturé, au point qu'on croirait presque du mauvais Jér?me Savary. Le grand Py Circus. Avec ses prostituées, ses danseuses seins nus, plumes et boas, ses soldats violeurs, ses [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] danseurs sculpturaux, ses travestis en mini-jupettes et perruques.
Le Monde.fr a le plaisir de [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] vous la lecture de cet [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
Le décor mignoté par son complice Pierre-André Weitz est comme toujours ingénieux. Un cube où les quatre faces tournent sur les rails du vide. Au programme, le music-hall de la tragédie, les loges de la farce, les coulisses par où s'engouffre la rue, le bar louche ("Chez ") où les [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] rencontres sont à "rixes". Outre que le dispositif [url=http://www.kamomidori.co.jp/cgi-bin/psboard2.cgi?%252526%252523160%25253B%252526%252523160%25253Bmitigation]barbour uk Perturbation dans [/url] fait énormément de bruit et parasite la musique, il est prétexte à un superfétatoire remplissage scénique, qui va des badauds mangeant la pasta aux fenêtres des immeubles au ballet d'un rouge pas très sage avec le loup, nonobstant les passes des professionnelles et rodomontades d'hommes de main au tempérament très chaud.
Il y a, pour qui suit le travail de Py, plus [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] [url=http://www.shanghai-ison.com.cn/plus/view.php?aid=744804]nike air jordan pas cher The Upsides And Downsides[/url] que [url=http://www.11yx.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=1491108]hollister france Nouveau projet de Louis Dreyfus armateurs pour SeaFrance[/url] du déjà-vu - sa Carmen est une réplique de la Lulu rousse pétante et déshabillé en soie noire de . Carmen ? à la banderille séguedille, au toréador j'adore. [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Les deux séductrices fatales ont certes des points communs. De là à les ...
Sur le Web : .
Sauvons quand même la scène dernière, enfin dépouillée, enfin concentrée (exit les conglomérats de décors), qui voit l'affrontement final des amants tandis qu'Escamillo assassine le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] taureau. La mise à mort de Carmen est belle, réglée sur la musique - Py réussit souvent ses morts d'opéra. Pourquoi donc se relève-t-elle pour s'en en fond de scène, son peignoir sur les reins ? Nous n'en saurons fichtrement rien.
Cela s'entend, à renforts de décibels et de coups de glotte. Il se rachètera (partiellement) dans le dernier acte et puis aussi, allez, dans "La fleur que tu m'avais jetée". L' Caoduro est tout ce qu'on déteste : gorgé de testostérone. Quant à la Manfrino, parfaite en oie blanche humiliée et offensée, il ne faut pas entendu Anne-Catherine Gillet dans le r?le, émouvante à des larmes.
Carmen, de . è Maria Lo Monaco, , , , Olivier Py (mise en scène), Pierre-André Weitz (décors et costumes), (lumières), (chorégraphie), Orchestre, Choeurs et Ma?trise de l'Opéra de Lyon, Stefano Montanari (direction). Opéra de Lyon (69), le 25 juin. Jusqu'au 11 juillet. Tél. : 08-26-30-53-25. De 10 ? à 92 ?.
Il n'a pas été possible de se une opinion franche [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] de la direction (assez sèche et peu inspirée, a-t-il semblé) de , grevée par les béances acoustiques que génère un décor absorbeur de son et dévoreur de voix. Les voix justement : on s'est pincé devant les choix hasardeux de , homme d'opéra habituellement avisé de thé?tre et de la chose vocale. Si les seconds r?les fr?lent l'excellence (notamment les deux copines de Carmen [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] : Angélique Noldus en Mercédès et en Frasquita), aucun des personnages principaux n'est à la hauteur.

The post has been approved 0 times