hollister france La hausse de leuro menace une rep

La situation est particulièrement mena?ante pour les Etats fragiles de la [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] périphérie. Engagés dans de douloureux efforts d'ajustement, ceux-ci peinent à la tête de l'eau et restent frappés par un ch?mage de masse. La entame ainsi sa sixième année de [url=http://ewritingacrosscultures.com/activity/p/135479/]moncler LUE sattend à un accord rapide sur la dette grecque[/url] [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] récession.
"GUERRE DES CHANGES"
En Espagne, les chiffres publiés mercredi montrent que l'activité a connu au quatrième trimestre 2012 son recul le plus marqué depuis plus de trois ans (– 0,6 %).
Et ce n'est sans doute pas fini. [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] Selon une note publiée mercredi par , l'euro devrait de 1,33 dollar actuellement à 1,40 dollar d'ici trois mois, puis se à ce niveau jusqu'à la fin de l'année.
Pour la [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] plupart de ces pays, une [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]ugg pas cher Le Sénat durcit [/url] lueur d'espoir réside dans la croissance des exportations : + 4,6 % en volume pour le en 2012, + 3,3 % pour l'Espagne. Mais celles-ci [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] reposent généralement sur des produits à basse ou moyenne valeur ajoutée, très sensibles au niveau du taux de change.
Sous la pression du gouvernement, la banque du s'est lancée, lundi, dans une nouvelle offensive pour le yen en augmentant massivement son programme de rachat d'actifs. Ce coup de force inquiète les partenaires de l'Archipel. Parmi d'autres, J?rg Asmussen, responsable des relations internationales à la BCE, a mis en garde contre la tentation de "politiser" l'action des institutions monétaires.
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Selon les données publiées mercredi 23 janvier, leur moral n'a jamais été aussi bas depuis 2009, année de récession. Un facteur risque fort de ce pessimisme dans les semaines à : la hausse de l'euro. Lentement mais s?rement, la monnaie unique s'apprécie depuis maintenant six mois face à presque toutes les grandes .
Entre fin juillet 2012 et fin janvier, elle a gagné 2,5 % par rapport au franc , 10 % face au dollar et même 25 % face au yen japonais. Un renchérissement qui met sous pression la compétitivité des produits fabriqués en zone euro et destinés à [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] l'exportation.
Et pour cause : si les tensions s'intensifient, l'euro risque d'être encore la variable d'ajustement du système. Pour la [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] BCE, comme l'a rappelé M. Draghi début janvier, le taux de change n'est pas un "objectif de la monétaire". Celui-ci, estime-t-on à Francfort, doit être déterminé par les forces du marché en fonction des fondamentaux économiques.
Enfin, selon , "il faut plus que six mois pour des conclusions. Ces [url=http://feztag.com/profile.php?user=Nogical3p53&v=comments]Les syndicats de la RATP et de la SNCF envisagent de nouveaux appels à la grève[/url] trois dernières années, l'euro a beaucoup évolué, à la hausse comme à la baisse".
GARDER LA T?TE FROIDE
Certains experts appellent cependant à la tête froide. "Le niveau du taux de change, c'est aussi le baromètre de la confiance accordée à l'euro comme construction politique et monétaire", rappelle Bruno Cavalier, chef économiste de la société de Oddo. Alors que la devise a semblé un temps menacée de disparition, il para?t difficile de bl?mer [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] aujourd'hui le retour des capitaux des investisseurs.
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Or une appréciation de la monnaie unique est la dernière chose dont la zone euro et ses 18,8 [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] millions de sans- ont besoin.
La France aussi a beaucoup à d'une [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] appréciation de la monnaie unique. Les effets de son plan de compétitivité ne seront pas immédiats et, dans l'intervalle, l'austérité pèse durement sur sa demande intérieure, un moteur traditionnel de sa croissance. "C'est ce qui nous permet d'habitude de résister, mais cette fois, une hausse de l'euro risque de nous co?ter très cher", note M. Ducrozet.
Mercredi, le Fonds monétaire a révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour la zone en 2013 : au lieu d'un timide rebond (+ 0,2 %), il prévoit désormais un recul de l'activité de 0,2 % alors que l'économie mondiale devrait, elle, cro?tre de 3,5 %.
l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), ils sont même franchement déprimés.
Mais la zone euro subit aussi [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] les conséquences d'une "guerre qui redémarre sur le marché des changes", explique Sylvain , chez Natixis. Un peu partout dans le monde, les banques centrales font la planche à billets pour leur économie.
L'euro reste certes en de?à de son record de près de 1,60 dollar en 2008. "Mais aujourd'hui, l' survit surtout gr?ce à ses exportations, souligne , économiste au Crédit agricole CIB. Si l'euro monte encore de 10 %, cela précipitera [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] le retour en récession."
Ce rebond est d'abord à au crédit du patron de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi. En promettant fin juillet 2012 de tout ce qu'il faudra pour "préserver" l'euro, l'Italien a dissipé pour de bon les craintes d'une explosion de l'union monétaire. Les investisseurs étrangers sont de retour. En témoigne la baisse, semaine après semaine, des taux auxquels l' ou l' empruntent sur les marchés.

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