hollister france La Cour des comptes tance Paris-D

Deuxième "irrégularité" : "des désordres ont été constatés au sein de la formation continue." "Douze" professeurs "ont réalisé un volume d'heures complémentaires supérieur à 200 heures". Et jusqu'à 615,9 heures pour l'un d'eux. Avec les 192 heures statutaires, cela correspond à "un total de 31 heures devant les élèves par semaine"... Sachant que cet enseignant est également professeur dans une école de management, la Cour précise à l'adresse de tous?: "Il est permis de s' sur la réalité des heures d'activité consacrées à la recherche, et parfois même sur la qualité de la préparation des enseignements."
La présence de Dauphine au sein du p?le universitaire Léonard-de-Vinci représente elle aussi "une incertitude financière". Très fortement soutenue par , ex-président du conseil général des Hauts-de-Seine, l'implantation est appuyée par des subventions du département (400?000 euros) et de l'Etat (335?000 [url=http://www.gignorigins.fr/index.php?file=Forum&page=viewtopic&forum_id=5&thread_id=29198]www.achbanker.com/home.php Laurent Blanc Ce nest évi[/url] euros). Or Dauphine ne sait pas, d'une année sur l'autre, ce qu'elle percevra [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] de l'Etat. Et, note la juridiction, le département peut d'avis.
D?SORDRES AU SEIN DE LA FORMATION CONTINUE
Ces conventions ont représenté 837 023 euros en 2009 et 2010. Et le président de Dauphine a d? réquisitionner l'agent comptable à plusieurs reprises, car il refusait de . De fait, rappelle la Cour des comptes, "ces conventions sont irrégulières", car elles ne devraient que des prestations clairement distinctes du service d'enseignement.
"FRAGILIT? FINANCI?RE" DE L'?TABLISSEMENT
Au fil du rapport, la juridiction relève d'autres "carences". Ainsi, "les comptes financiers ne sont pas toujours adoptés dans les délais, le contr?le interne est inexistant et l'établissement ne dispose pas encore d'une comptabilité analytique".
Mais, même si l'on est [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] loin des "dérives" que la Cour avait dénoncées après sa visite à Sciences Po Paris, elle se montre cependant assez sévère avec Dauphine en relevant "deux irrégularités significatives ". Ainsi, l'université a pris l'habitude de à des associations, des s privées et même à des personnes officiant comme enseignants à privé, de des formations. L'un d'eux, professeur [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] retraité de Dauphine, a ainsi "pris le statut d'entrepreneur individuel afin [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] de son enseignement annuel au sein de l'université et de ses honoraires".
"SON ORGANISATION RESTE CELLE D'UNE UNIVERSIT?"
Au final, en décortiquant ce "modèle singulier dans le paysage universitaire", la Cour trace des pistes de réflexion d'une plus large ampleur. Dauphine se tourne "vers l'internationalisation des cursus, la création d'une fondation partenariale et la mise en place de droits de [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] scolarité modulables [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] ".
C'est [url=http://park15.wakwak.com/~haruka/cgi-bin/off/yybbs.cgi]hollister pas cher Make The M[/url] un rapport que les initiés attendaient. Après audité Po Paris, la Cour des comptes s'est intéressée à sa rivale, Paris-Dauphine, spécialisée en économie. Mais, cette fois, le résultat n'a pas été publié. Ce document, que Le Monde s'est procuré, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] n'exsude pas le scandale, il est vrai. La gestion de [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] Laurent Batsch, président de Dauphine, appara?t moins débridée que celle de , directeur [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]doudoune moncler Egypte la [/url] de l'Institut [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] d'études politiques (IEP) de Paris entre 1996 et 2012, année de son décès dramatique à .
Tout cela "tend à rapprocher encore davantage des grandes écoles", qu'elle concurrence. Mais, pointe la Cour, "son organisation reste celle d'une université, marquée par une forte décentralisation des activités, l'hétérogénéité et les cloisonnements entre départements (...). Ces forces centrifuges handicapent encore l'université pour et une stratégie globale "
Elle se montre cependant satisfaite des "progrès importants" (en matière budgétaire ou de gestion des ressources humaines) qui ont été réalisés depuis son dernier passage (qui avait porté sur la période 2001-2006). Elle se félicite aussi de la bonne volonté des dirigeants de Dauphine. M. Batsch a promis de un terme aux "désordres" constatés en matière de formation continue. Mais la Cour prévient : elle le vérifiera dans un an.
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Or, la Cour des comptes constate que celle-ci "est une université dont les dipl?mes concurrencent ceux des grandes écoles sur le marché du travail et qui présente de bons résultats d'insertion professionnelle". Quant à la recherche, "Dauphine bénéficie d'atouts indéniables : la qualité et le dynamisme d'équipes de renom , sa grande cohérence disciplinaire, son implantation sur un lieu unique, son attractivité qui lui vaut des soutiens et des partenariats nombreux".
La Cour des comptes montre que Dauphine, dotée du même statut de "grand établissement" que Sciences Po, parvient [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] aux mêmes résultats pour beaucoup moins cher. Un étudiant de Dauphine co?tait 5?833 euros à l'Etat en 2011 (contre 8?686 euros pour Sciences Po Paris en 2010).
Par ailleurs, la juridiction a identifié des faiblesses. Telle "la fragilité financière" de l'établissement, dont le résultat d'exploitation était négatif en 2008 et 2010. Elle évoque aussi les "grandes incertitudes" [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] qui pèsent sur le projet de restructuration du b?timent (80 millions d'euros). "Aujourd'hui encore, ni le montant des subventions dont pourra l'université (...), ni le co?t prévisionnel définitif des opérations ne sont connus. Dans le même temps, l'université a passé des marchés d'assistance à personne publique sur ses fonds propres, pour des sommes potentiellement importantes."

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