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Et d' à un signe fort de la Banque centrale européenne, qui devrait, selon lui, s' clairement à massivement de la dette italienne. "Le salut de l'Italie est italien, juge-t-il. Mais il se trouve à Francfort, avec , le président italien de la BCE."
pour l'étau dans lequel il enfon?ait [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] chaque jour un peu plus l'. Au lendemain de l'annonce de la démission prochaine de de la présidence du conseil italien, les marchés ont [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] pourtant été pris d'un nouvel accès de fièvre mercredi 9 novembre. Ainsi, les rendements des emprunts d'Etat italiens à dix ans se sont considérablement tendus, pulvérisant un nouveau record à 7,226 %, contre 6,742 % la veille, 5,907 % deux semaines plus t?t et 4,815 % le 1er janvier.
D'ici à la fin de l'année, l'Italie va emprunter 58 milliards d'euros pour refinancer sa dette. "Lever cette somme à 7 % n'est pas explosif", juge M. de Lucia. Mais les échéances de 2012 sont bien plus élevées, le montant des obligations arrivant à échéance étant près de 25 % plus élevé qu'en 2011 : le pays devra 231,9 milliards d'euros, contre 157,5 milliards d'euros attendus en 2013. Avec notamment trois mois extrêmement délicats en février, mars et avril...
Déjà étroite, la marge de manoeuvre du pays s'en trouve encore plus restreinte par les exigences des marchés qui réclament à Rome des rendements de 7 [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] % pour refinancer sa dette. On n'est plus qu'à quelques encablures des taux demandés au et à l' quand ils ont d? appel à l' européenne.
L'Italie est certes confrontée à des [url=http://microblog.rapichat.com/view/post:1018688]louboutin Impôts ne déclarez pas forcément les[/url] taux élevés, à une croissance molle depuis presque deux décennies, mais paradoxalement l'Etat, qui se débat avec une dette publique supérieure à 100 % du PIB depuis le début des années 1990, n'est pas des plus dispendieux.
"Les marchés se demandent maintenant qui va le pays, avec qui, si [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] des élections vont lieu", explique Clemente de Lucia, économiste chez BNP Paribas. "Il y a [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] aussi le problème de ce qu'un gouvernement [url=http://www.188817.com/viewthread.php?tid=252432&extra=page%3D1&frombbs=1]www.vivid-host.com/barbour.htm Des instruments de torture vendus aux enchères[/url] totalement nouveau ferait pour résoudre les problèmes structurels du pays, notamment l'application des mesures réclamées par l'", complète , de l'institut Bruegel.
Désormais placée sous surveillance du Fonds monétaire et de la Commission européenne, l'Italie devrait son Parlement d'ici à la fin de la semaine les mesures de rigueur. Un vote à l'issue duquel M. Berlusconi a promis de .
Depuis quinze ans, à l'exception des années 2009 et 2010, l'Italie se trouve en effet en "excédent [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] primaire", ce qui n'est pas le cas de la France : en clair, si le pays n'avait pas à la charge de sa dette, le budget italien serait excédentaire.
En 2011 par exemple, le pays devrait un excédent primaire de 0,9 % du PIB... Un chiffre que les nouvelles mesures d'austérité sont censées accro?tre. "Selon nos calculs, la dette publique peut soutenable jusqu'à un taux marginal d'emprunt de 9 % pendant un ou deux ans, à la condition expresse que les mesures d'austérité devant prochainement être adoptées soient pleinement appliquées, et notamment que l'excédent primaire passe de 0,9 % du PIB cette année à 5,2 % en 2014", [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] explique ainsi Laurence Boone, chef économiste Europe chez Bank of America Merrill Lynch. [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] Selon ses projections, même en empruntant à un taux de 6,5 % et avec une croissance limitée à 1 % à l', l'Italie pourrait sa dette sous la barre des [url=http://www.speed.clanmark.com/index.php?site=news_comments&newsID=1]www.achbanker.com/home.php Le Scandale du gaspilla[/url] 100 % du PIB en 2022.
Pour la Péninsule, "une hausse de 1 point du taux d'emprunt représente une charge supplémentaire de 4 milliards d'euros", explique Sylvain , [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] de Natixis. Si les taux restaient au-delà de 7 % plut?t qu'autour des 4,5 % prévus initialement, cela pourrait représenter une surcharge financière de 11 à 12 milliards d'euros. Soit près d'un point de PIB...
"Rome doit non seulement des mesures, mais aussi les en oeuvre", a cependant prévenu, mercredi, Jean-Claude Juncker, le patron de l'Eurogroupe. Car avec l'Italie, dont la dette culmine à 1 900 milliards d'euros - soit 120 % de son produit intérieur brut (PIB), l' se trouve confrontée à une dette cinq fois plus élevée que celle de la ...
Reste à si les marchés agiront de fa?on rationnelle... "Le problème est davantage un risque [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de liquidité que de solvabilité : en clair, les investisseurs voudront-ils encore du papier [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] italien ?", s'interroge Mme Boone. "Il y a assez peu de chance d' à une détente rien qu'avec le ", déplore de son c?té M. , qui [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] parle d'"aberration de marché" devant l'envolée récente des taux italiens.

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