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En manifestant dès juillet son intention de tout pour la monnaie unique, l'Italien a érigé une digue autour [url=http://www.fooree.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=3483&pid=3748&page=1&extra=page=1#pid3748]hollister GMH - Groupement Français des Ent[/url] de l'union monétaire. Mais celui qui appara?t plus que jamais comme le gardien de l'euro répète n' acheté que du "temps", un temps que les politiques ont bien du mal à à profit. Ni "grand soir" fédéral ni sommet de la dernière chance, le Conseil européen des 18 et 19 octobre devrait, sauf surprise, p?tir de l'inertie du moment, tant sont grandes les divergences entre les dirigeants de la zone euro.
Les pays les plus fragiles, qu'ils soient sous perfusion ou pas, sont plongés dans une récession qu'aggrave la cure d'austérité imposée pour des gages aux marchés. Le ch?mage atteint des records dans le sud de l'union monétaire. Quant au coeur de la zone euro, il ne fait plus exception. La France est proche d'une croissance nulle. L'Allemagne elle-même n'est pas épargnée par le ralentissement, même [url=http://www.compuphonic.co.uk/index.php?do=/blog/add/]boots ugg pas cher Les marques de luxe chinoises affichent l[/url] si elle reste la locomotive incontestée de l'Union monétaire. D'après le FMI, la zone euro devrait une récession de 0,4 % cette année. Et le rebond de la croissance devrait être aussi plus limité qu'attendu en 2013, à 0,2 %. Une atonie qui risque, elle aussi, de la sortie de crise.

Après deux mois de calme relatif, le Fonds [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] monétaire (FMI) ne s'est d'ailleurs pas privé de la sonnette d'alarme en marge de son assemblée d'automne à Tokyo cette semaine : "La crise de la zone euro s'est aggravée" depuis le printemps "en dépit des décisions politiques visant à la résoudre", constate le FMI dans son dernier rapport sur les perspectives économiques mondiales. Les indicateurs "restent dans le rouge", "ce [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] qui suggère que la faiblesse se répand de la périphérie vers l'ensemble de la zone euro", touchant tous les pays, y compris l'Allemagne, ajoute-t-il. Signe des temps, sa directrice générale, Christine Lagarde, multiplie les contacts avec les dirigeants européens pour de un terme au dialogue de sourds entre le nord [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] et le sud de la zone euro.
Car le renforcement de la zone, présenté comme la panacée pour palier les [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] lacunes d'une union monétaire née à la fin des années 1990, patine. Les Européens ne parviennent pas à leurs divergences pour de la crise par le haut. L'Allemagne d'Angela Merkel ne veut pas d'une mutualisation des dettes, à un an de ses propres élections générales, sans vers davantage d'union , d'inspiration fédérale. Avec un souci, martelé depuis le début : procéder aux de souveraineté permettant de sur les choix budgétaires et économiques des pays de l'union monétaire, afin de de l'ordre dans leurs comptes et en vue d'améliorer leur compétitivité. La France de tergiverse et lie tout progrès en termes d'intégration à de nouveaux efforts de solidarité.
A plus court terme, le sauvetage des maillons faibles de l'union monétaire marque lui aussi le pas, comme en témoignent les tergiversations autour du sort de l'Espagne. Le gouvernement de est d'autant plus enclin à la perspective d'une demande d' élargie qu'il conna?t les réticences de l'Allemagne sur l'idée d'une intervention conjointe de la BCE et des fonds de secours.
Le patron de la Bundesbank, , a dénoncé le recours à la "planche à billets" et le risque d'un financement monétaire des Etats en difficulté, interdit, rappelle-t-il, par les traités européens. Ce qui incite Mario Draghi à la prudence.
Par ailleurs, les pays de la zone euro s'écharpent sur le projet de supervision bancaire intégrée, dont l'objectif, vu du Sud, est de aux fonds de secours de recapitaliser directement les banques espagnoles sans davantage l'endettement du pays. Un moyen de le lien entre crise des dettes souveraines et crise bancaire.
Gros obstacle : l'Allemagne pose de multiples conditions qui risquent de la mise sur pied du dispositif. Ce processus est pourtant "essentiel" et doit être activé "rapidement", plaide le FMI, [url=http://bbs.yingsheng.net/forum.php?mod=viewthread&tid=1658244]hollister These People Definitely Seem To Have A Specialization In Silk The Soft[/url] apportant de l'eau au moulin de la France, de l'Espagne, de l'Italie ou de la Commission européenne, qui tentent de Berlin de les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] travaux d'ici au début de 2013.
Son pré-rapport, préparé avec mais aussi avec José , le président de la Commission, et , celui de l'Eurogroupe, suggère d' l'option, encore peu consensuelle, d'un budget central de la zone euro. C'est l'esquisse d'une union monétaire où les transferts financiers entre régions prospères et pauvres seraient plus importants qu'au sein de l' à Vingt-Sept. Pour Berlin, qui entend la coordination économique, il caresse aussi l'idée de mieux , à travers des contrats détaillés, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] les efforts de réforme des Etats membres. Mais au Sud, certains craignent d'être placés sous "programme d'assainissement", comme les pays sous perfusion financière.
Au coeur du séisme, la risque à tout instant le défaut de [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] paiement : tandis que les pays du nord de la zone euro se lassent de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] à perte l'Etat hellénique, ses relations avec ses bailleurs de fonds se sont considérablement tendues. Au point que certains, en , n'ont pas hésité [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] à tout haut d'une sortie de la zone [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] euro, hypothèse écartée à ce stade par Angela Merkel. L' et le - les deux autres pays sous perfusion financière - craignent une nouvelle poussée de fièvre à Athènes, qui compromettrait leur propre retour sur les marchés. Pour gérer ces risques, le fonds de secours permanent est désormais opérationnel, mais sa force de frappe reste modeste.
Pour de cette impasse, Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen chargé d' les grandes lignes du renforcement de l'union monétaire d'ici à décembre, propose d' par étapes, sur dix ans.
Si la pression des marchés s'est quelque peu apaisée, le danger demeure. L'Espagne voire l'Italie peuvent bénéficier du bouclier offert sous conditions par la BCE, mais elles ne sont pas définitivement à l'abri. Madrid cherche à régler au plus vite les difficultés de son secteur bancaire, avec le soutien sonnant et trébuchant de la zone euro, mais l' plonge dans la récession, sur fond de manifestations contre l'austérité. L' se prépare à [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] des rendez- électoraux cruciaux, début 2013, en regard des réformes mises sur les rails par et son gouvernement de technocrates.
Plus grave encore, l'économie réelle est plus que jamais rattrapée par la crise des dettes souveraines. Une différence notable avec la situation prévalant [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] en 2011, quand les entrepreneurs s'étonnaient du décalage entre les turpitudes monétaires et leur propre activité.
Les apparences sont trompeuses : l'union monétaire bénéficie depuis l'été d'un répit inespéré sur les marchés, mais elle est encore loin, très loin même, d' surmonté la crise des dettes souveraines qui l'ébranle depuis bient?t trois ans. S'il se félicite des progrès engrangés depuis quelques mois, Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE), presse les dirigeants européens d' leurs responsabilités.

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